Lors de la semaine européenne de prévention du cancer du col de l’utérus, une gynécologue a révélé quatre symptômes peu connus qui devraient vous mettre la puce à l’oreille.
En l’absence d’indicateurs précoces, le cancer du col de l’utérus suscite des craintes. Alors pour vous aider à le déceler et à réagir au plus vite en cas de nécessité, une étude a partagé quatre symptômes peu connus que vous ne devriez jamais ignorer.
Si vous remarquez des changements dans vos saignements vaginaux, l’heure est d’interrogation. Il est fortement recommandé de consulter si vous commencez à avoir des saignements entre vos règles, après la ménopause ou un rapport sexuel. Même chose si vous remarquez des modifications de vos pertes vaginales. Elles sont plus épaisses, ont changé de couleur, d’odeur ou bien elles semblent tachées de sang.
En parallèle, si les rapports sexuels vous font mal, même après lubrification, cela vaut également la peine de contacter votre médecin généraliste. Enfin, le mal de dos peut également être un signe du cancer du col de l’utérus. Si vous avez remarqué une douleur dans le bas du dos ou dans le bassin qui ne disparaît pas après deux ou trois semaines, il est conseillé de consulter un professionnel de santé. Cette douleur ne peut être expliquée que par une blessure sportive ou un mode de vie actif.
« Mesures préventives »
Pour rappel, le dépistage cervical est le meilleur moyen d’identifier les changements anormaux dans le col de l’utérus. En outre, les femmes devraient toujours subir des frottis, un test de dépistage de routine qui permet de détecter des cellules anormales sur le col de l’utérus avant qu’elles ne se transforment en cancer, insistant sur la nécessité de se faire suivre régulièrement. « C’est une procédure rapide et indolore qui pourrait vous sauver la vie. Les systèmes d’alerte précoce sont associés au dépistage cervical, ce qui permet aux médecins de prendre des mesures préventives.
Le cancer du col de l’utérus est principalement causé par une infection persistante du HPV, un virus courant qui touche environ huit personnes sur dix. Certaines infections au HPV peuvent conduire au cancer du col de l’utérus. En France, chaque année, 3 000 femmes en développent un.